lundi 6 novembre 2017

Si l'immigration massive de musulmans profiteurs doit être permise, tolérée ou facilitée, alors la nation n'a plus de sens ni le territoire non plus. N'importe qui pourrait aller et venir n'importe où, apporter et imposer sa culture, sa religion, ses coutumes, ses produits, sa langue et ses mœurs, profiter, exploiter, se servir, bénéficier, abuser, spolier, selon ses lois et ses règles propres.

Le monde ne serait plus divisé en nations grandes et petites, rassemblées sur des territoires reconnus, mais les plus nombreux et les plus forts imposeraient leurs façons, qu'ils soient d'ici ou d'ailleurs, qu'ils soient civilisés ou sauvages, qu'ils soient venus de loin ou des alentours.

On ne serait plus maître en sa maison, en son chez-soi. On ne pourrait plus vivre avec ses semblables.

Dans le passé, de puissants empires ont conquis et intégrés sous leur joug des nations plus petites incapables de leur résister. Les cultures des vaincus ont été défaites et lorsque, par hasard, il en subsiste des traces et des ruines, témoins déchus de leur splendeur passée, elles sont regardées avec une certaine nostalgie, parfois avec admiration et parfois comme des curiosités. Mais elles ne sont plus ; elles se sont enfouies, dissoutes, néantisées dans le révolu.

Actuellement, c’est surtout par la séduction des idéologies ou leur violence que de grands pays tentent de subjuguer leurs voisins lorsqu’il ne peuvent ou ne veulent pas utiliser la force pour les soumettre. Déjà, avant de s’effondrer, le catholicisme avait tenté pendant mille ans de submerger les consciences et d’exercer par ce biais un pouvoir sans partage. Il n’y a guère, l’Union Soviétique a utilisé le marxisme pour étendre son emprise sur le monde. Aujourd’hui, en souvenir de son passé aussi brillant qu’effrayant, forte de son poids économique, politique et démographique, la Chine a une volonté de domination évidente dont l’arrogance n’est pas la plus petite eccéité ; mais d’autres puissances ne font pas mystère de leurs ambitions planétaires comme, d’abord et avant tout, les juifs américains et les musulmans.

Pour conquérir le pays où ils se trouvent, les juifs doivent détruire l’opposition, le sentiment identitaire, la cohésion de la population et, pour tout dire, la culture nationale. Le champ sera alors libre pour l’exercice du pouvoir cosmopolite en relation avec les autres pays, eux aussi réduits à la servitude par les mêmes moyens. Il ne restera plus qu’à les convertir comme le sont déjà les États-Unis et bientôt la France.

La culture française est en butte à une guerre d’usure de la part du cosmopolitisme juif et de l’idéologie musulmane dont les procédés agressifs joints à la passivité française ne laisse apparemment aucun doute quant au sort final de la confrontation. Sans un sursaut salutaire, sans un soulèvement des résistants contre l’étranger et les collabos, sans un réveil des consciences, c’en est fait de la culture française. Rien alors ne pourra brider les ambitions des envahisseurs qui occupent la France et la rongent de toutes parts.

Alors que la masse des migrants musulmans profiteurs continue de se répandre sur la France, les autorités politiques cosmopolites et collabos persistent à les appeler à grands cris en mettant à leur disposition tous ce qu’ils omettent de donner à la population française démunie.

Mais cela ne suffit pas. Il faut accélérer l’islamisation de la France et réduire encore l’empreinte de la culture française dont le dynamisme reste un obstacle à l’avènement d’une Europe cosmopolite. C’est pourquoi les migrants musulmans profiteurs, une fois installés dans le cocon français, sont autorisés à regrouper leur famille en France et à faire venir auprès d’eux leurs femmes et enfants, leurs oncles et tantes, leurs cousins et cousines, leurs voisins et autres proches qui seront à leur tour les bénéficiaires de la manne sociale française.

Forte de son nombre, la communauté musulmane s’est organisée. Elle a ouvert des milliers de mosquées où les fidèles viennent entendre que, par précellence, le Coran est la seule loi des musulmans. De proche en proche, des revendications se sont faites jour, des privilèges ont été revendiqués, des passe-droits de plus en plus nombreux et dérogatoires ont été sollicités des autorités. Celles-ci ont compris, concédé, complu, exempté, puis largué, abandonné, lâché la bride et accédé à tout et même au pire, par calcul, par tactique ; pour favoriser la culture musulmane et étrangler un peu plus la culture française. Tout est passé facilement. Les franco-français n’ont même pas renaclé. Ils ont un peu honte d’être poltron ; ils ont la venette ; ils ont tout accepté sans répugner : les prières dans les rues, les repas halal dans les cantines des écoles et des entreprises, la révision des cours d’histoire, les heures de baignade réservées aux femmes dans les piscines, une salle de prière dans les entreprises, les soins dans les hôpitaux dispensés aux femmes musulmanes seulement par des médecins femmes, les abattoirs halal, les excisions et circoncisions alors que les mutilations volontaires sont interdites, le sacrifice cruel des moutons lors de l’Aïd sans compter le reste et en attendant la suite comme l’ouverture de tribunaux musulmans pour appliquer la charia.

Des quartiers entiers des villes sont désormais accaparés par les musulmans où ils exercent leur propre police religieuse et où nul ne peut pénétrer sans risque. Le territoire change de main. Les femmes voilées se rencontrent en grand nombre. Le message qu’elles adressent aux franco-français est clair : "Je suis chez moi ici, et toi, tu n’est plus chez toi."

En attendant, le flux des migrants musulmans profiteurs ne faiblit pas. Par terre et par mer, jour après jour, ils arrivent par milliers et milliers. Ils sont recueillis par des organisations de toutes sortes financées par les passeurs, puis poulottés par des angéliques aussi inconscients qu’imprudents et encouragés par les collabos dont l’industrie est l’exploitation des migrants par le verbe, l’écrit et l’image.

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