lundi 13 novembre 2017

Les beaux phraseurs, angéliques et collabos confondus, discourent à perdre haleine sur le droit d’asile que tous les migrants pourraient invoquer pour justifier leur invasion et leur installation en France. C’est aller un peu trop vite en besogne et, dans ce cas comme dans bien d’autres du même genre, le dérapage intellectuel est incontrôlé et l’accident inévitable. Le simple particulier, poursuivi dans son pays pour ses opinions, a droit à l’asile mais il ne pourrait prétendre au bénéfice de cette protection simplement parce que le régime politique de son pays n’est pas ce qu’il souhaite ou parce que le développement économique est insuffisant ou parce que les droits sociaux sont limités ou parce qu’il considère que ceci ou cela le dessert ou le gêne. À ce compte là, n’importe qui venant de n’importe où pourrait prétendre bénéficier du droit d’asile et s’installer confortablement dans le pays de son choix, là où son sentiment lui indiquerait qu’il pourrait en retirer les commodités les meilleures.

En regardant simplement le monde en dehors de l’Occident, n’importe qui peut prétendre bénéficier du droit d’asile puisque presque tous les régimes politiques sont très différents de ceux de la sphère occidentale et qu’ils pourraient être jugés comme non respectueux des droits élémentaires tels qu’ils sont compris en Europe. Cela ferait des centaines de millions de personnes éligibles au droit d’asile si l’on en croit nos angéliques et collabos. Mais on peut encore aller plus loin. Comment croire que les pays occidentaux sont des pays libres lorsque l’on observe les pratiques en vigueur partout, lorsqu’on hisse sur le pavois cette démocrassie autoritaire qui donne un pouvoir illégitime et discrétionnaire pour cinq ans à des charlatans, à des clowns aussi grotesques qu’effrayants, à des bonimenteurs bornés, incultes, jouisseurs, incompétents et corrompus dont le but n’est nullement de servir le peuple mais de jouir d’un pouvoir quasi absolu, de se remplir les poches et la bedaine, sans oublier le cuissage dont ils sont très amateurs. À ce train là, tout un chacun, d’où qu’il vienne est un migrant politique pouvant revendiquer le bénéfice du droit d’asile.

La perméabilité du pouvoir aux élucubrations des bobos a quelque chose de psychédélique. À moins que les bobos ne soient infectés par le crachat d’une langue de vipère et que leurs théories fumeuses leur soient soufflées par plus retors qu’eux, on est stupéfiés qu’un aussi petit nombre de personnes d’un abord si médiocre aient un pouvoir de nuisance aussi élevé. Leur opinion fait prime contre celle de l’ensemble du peuple. Le gouvernement comme les autres pouvoirs semblent paralysés et comme hypnotisés au point que, dans un esprit de vertige, les divagations de ces parasites déterminent la politique du pays. Que les bobos jugent que tous les migrants d’où qu’ils viennent et quel que soit leur nombre doivent être accueillis avec tous les égards possibles et que tout soit fait pour les intégrer dans la société française est une aberration criminelle. Ce non-sens est repris cependant par tous les pouvoirs politiques en France.

La conclusion est nette et malheureusement peu réjouissante. L’afflux des migrants musulmans profiteurs répond à une politique mise en place par les cosmopolites et leurs affidés collabos pour désagréger la culture française et faire de la France un protectorat judéen.

La mise en place d’un obstacle dirimant à l’invasion des migrants musulmans profiteurs serait cependant d’une simplicité parfaite.

Toute personne, ne disposant pas d’un justificatif lui permettant de se déplacer et de séjourner en France, serait dirigée vers un centre d’accueil équipé pour la prendre en charge.

Le quidam laisserait sa religion à l’entrée du centre d’accueil fermé, -car la France n’est pas un pays musulman,- et ses affaires personnelles au vestiaire pour éviter qu’il ne soit dépouillé par les autres migrants hébergés ; il recevrait un lit dans un dortoir et une place au réfectoire ; il serait soigné, disposerait de l’hygiène nécessaire, d’un confort suffisant, de l’accès à une bibliothèque de livres français pour passer le temps agréablement et en sécurité.

Des représentants d’associations humanitaires ou religieuses ne seraient pas autorisés à pénétrer dans le centre d’accueil fermé car, dans ce contexte et comme souvent, ces disputailleurs seraient sources de désordres.

Il ne manquerait que la liberté aux résidents car ils ne pourraient quitter le centre d’accueil fermé que pour regagner leur pays.

Ce dispositif très simple mettrait en échec tout le processus élaboré par les passeurs et leurs complices, les cosmopolites et les collabos en tous genres qui se concertent en France. Le migrant n’aurait plus aucune raison de franchir la frontière car il ne pourrait plus pratiquer sa religion ni bénéficier des avantages ni des soutiens que les mille feux du kaléidoscope des illusions lui avait fait accroire.

Lorsque ces mesures auront fait l’objet de la publicité la plus large et qu’elles auront été propagées dans tous les azimuts, les populations migrantes seront informées exactement des détriments qu’elles rencontreront en débarquant dans un pays comme la France. Et elles ne viendront plus.

Et les centres d’accueil fermés dépériront et dispraîtront d’eux-mêmes, faute de migrants.

Mais tout ceci est trop simple et trop facile. Les organisateurs du dépérissement de la culture française n’en veulent absolument pas. Il faut au contraire compliquer la tâche des résistants qui voudraient limiter et tarir la source du déferlement des migrants musulmans profiteurs. Les délirants comploteurs de l’effacement de la culture française donnent aux migrants le pain que les pauvres français n’ont pas, les logements qui manquent aux vieux français démunis et les allocations dont les nécessiteux français sont privés. Et les migrants prospèrent et traficotent. Et les français dépouillés les voient passer au volant de belles voitures en compagnie de leurs ménesses.

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