lundi 20 novembre 2017

Dans les banlieues abandonnées à la charia des imams salafistes, il faut être du sérail pour pouvoir y pénétrer comme jadis dans la cour des Miracles. Nul français autochtone ne tente l’aventure ni même les policiers car la chasse est gardée et enfreindre l’interdit relève de l’inconscience ou de la provocation.

La jeunesse désœuvrée bat sa flemme sur les trottoirs, à l’aguet d’un chapardage ou d’un mauvais coup moins innocent mais plus rentable. On fume un joint et on vend la came au grand jour. La petite guerre des bandes entretient la forme même quand elle dégénère en coups de couteau ou de feu. Ces adolescents et jeunes adultes sont raboteux, presque analphabètes et prêts à tout. Lors d’expéditions en dehors de leurs territoires pour dévaliser ou estourbir l’un ou l’autre infidèle, ces maladroits se font souvent prendre la main dans le sac et leur casier judiciaire s’allonge et s’embroussaille. Les juges se montrent cependant compréhensifs et gentillets envers ceux qu’ils regardent comme des chiens perdus sans collier, comme des victimes d’une société ingrate et injuste. Il n’en reste pas moins que ces gibiers de potence sont une plaie, qu’ils encombrent les prisons et que leurs séjours derrière les barreaux enrichissent leur pedigree et les valorisent auprès de leurs acolytes.

Les grands frères islamistes en burnous surveillent cette petite société et rameutent à la mosquée, éventuellement à coups de gourdins et sans trop regarder à la qualité, les petites frappes et autres voyous. Les prêches enflammés des imams entretiendront et exalteront en eux la haine de la France et de tout ce qu’ils réprouvent. Les plus malléables entendront dans la prière l’appel vers la rédemption. Ils voudront combattre et mourir pour leur foi. Certains partiront et disparaîtront au loin dans la fureur des combats tandis que d’autres trouveront en France l’assouvissement de leur animadversion en répandant le sang d’innocents, en massacrant sans distinction hommes, femmes et enfants avant de périr eux-mêmes dans leurs attentats.

Ces nouveaux haschischins, ces égorgeurs lâches et méprisables, ont déjà assassiné plusieurs centaines de personnes.

S’il n’y avait pas de musulmans en France, il n’y aurait pas d’attentats. Tous ces gens-là doivent partir.

Ils viennent jusque dans vos bras égorger vos fils, vos compagnes !

Et la France, le gouvernement, tous pouvoirs confondus, amorphe et transie, ne fait rien.

Alors que le monde musulman fait la guerre et avance ses bataillons, alors qu’il conquiert de plus en plus de terrain par la peur qu’il inspire et l’audace de ses offensives, la France répond par des demi-mesures, des bouts de lois, des discours, des exhortations, des appels à la paix et à la fraternité, des timidités et des souleurs indignent d’elle.

La France recule et s’avilit dans la décadence. Elle peut encore se ressaisir, reprendre l’initiative et dérouter l’ennemi mais il n’est plus temps de tergiverser. Il faut combattre et vaincre.

Les agresseurs sont des étrangers puisqu’ils ne sont pas de culture française.

Les musulmans doivent se soumettre à la culture française ou partir.

Tous les fauteurs de trouble, les salafistes et leurs mentors, les délinquants et dévoyés, les prêcheurs et pontifiants, les suspectés et autres présumés, tous ces colonisateurs, tous ces forcenés le couteau entre les dents et la haine au cœur, tous ces asociaux doivent prendre le chemin des frontières et être expulsés sans aucun égard. Cela aurait dû être accompli depuis longtemps et cela tarde encore sans raison apparente sinon une faiblesse coupable. Que ces nuisibles soient mille ou un million ou plus encore, peu importe, il y va de la culture française.

Comme l’ennemi musulman cultive les accointances et le secret, qu’il se dissimule pour frapper, qu’il redouble de ruses pour multiplier les victimes dans ses odieux attentats, il faut simplement constater que le pouvoir en France est impuissant à juguler la menace. Il engloutit des milliards en opérations spectaculaires pour rassurer la population. Il l’effraie encore plus. Tout le monde est sur les dents. Chacun croit voir un djihadiste dans toutes les ombres. La police éradique une menace ici, elle resurgit là-bas. Et tout est à recommencer. On ne parvient jamais à détruire la racine.

La recette existe et elle est éprouvée. Elle est efficace et a fait ses preuves : les barbouzes. Il s’agit d’une police simplement débarrassée de la chape de cette administration tatillonne, brouillonne et incompétente, peuplée de ganaches au discours ampoulés, aussi tire-au-flanc que nullissimes. On a reconnu la Justice, flambarde et prétentiarde.

Les barbouzes sont indépendants de la justice ; ils reçoivent des informations et des fonds du ministère de l’Intérieur ; ils procèdent à leurs propres enquêtes, surveillances et contrôles ; ils ont leurs fichiers et leurs suspects ; ils interrogent les nervis islamites, leurs fauteurs et leurs mandants ; ils remontent les filières jusqu’au sommet et terrorisent ceux qu’ils chassent et qu’ils piègent. Ces spécialistes sont capables d’étrangler une poule sans qu’elle caquette. Les barbouzes sont discrets et efficaces. Leur mission est des plus simples : éliminer la menace.

La France dispose donc d’un moyen radical pour anéantir le complot djihadiste, ses ramifications et ses complices où qu'ils se trouvent, et en finir avec les attentats en France.

Mais le pouvoir cosmopolite et collabo veut-il en finir avec les attentats ? La transformation de la société et la disparition de la culture française ne seraient pas réalisables dans une France pacifiée.

La poursuite de la colonisation musulmane et de ses odieux procédés va donc se poursuivre.

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