lundi 9 octobre 2017

L'une après l'autre, les vagues de migrants musulmans déferlent sur l'Europe, submergeant toutes les digues qu'on leur oppose. Ils se répandent du sud au nord. Rien ne semble capable d'arrêter ce flot sans cesse renaissant et toujours grossissant.

Les migrants musulmans seraient plusieurs millions à avoir franchi tous les obstacles. Ils se retrouvent à présent dans une Europe riche et prospère où ils espèrent trouver tout ce dont leur Thébaïde natale est dépourvue.

Fuyant l’insécurité et les dangers de leur pays, ils se sont d'abord arrêtés dans une région voisine où ils ont trouvé réconfort, abri et subsistance avant d'entreprendre un voyage périlleux dans le but d'échapper à un sort misérable.

Comme les camps de réfugiés du Proche-Orient débordent de foules innombrables, on peut escompter que des millions de personnes répondront aux appels des politiciens cosmopolites européens. Ceux-ci rivalisent d'éloquence sur toutes les ondes et dans tous les journaux pour leur vanter les secours qu'ils leur préparent et pour les encourager à rejoindre en masse leurs coreligionnaires déjà installés dans le cocon communautaire.

En une seule année, les migrants musulmans vers l'Europe dépasseraient les 800.000. Si on soustrait les femmes et les enfants, il resterait plus de 500.000 jeunes hommes en état de porter les armes. Ils pourraient former facilement une armée à opposer aux petits 50.000 djihadistes sanguinaires qui mettent leur pays à feu et à sang. Cette bande de barbares féroces serait balayée en quelques semaines et tous les migrants musulmans retrouveraient leurs pénates sains et saufs.

Mais, à l'évidence, tel n'est nullement le souhait des migrants. Ils ne veulent pas du tout retourner dans leur désert où il faut gagner son pain à la sueur de son front. Il est bien plus simple de profiter de la pitié et de la générosité des européens. Il suffit de s'installer et on reçoit secours et allocations, soins et assistances de toutes sortes.

Déjà, les États européens se sont mobilisés. Des immeubles sont réquisitionnés pour abriter les milliers de migrants qui attendent avec une impatience non dissimulée tout ce qu’on leur a promis. Des milliards d'euros sont rassemblés et dépensés pour leur procurer le nécessaire et même le superflu.

Et pendant ce temps-là, de larges pans des populations européennes sont abandonnées à leur sort. Les vagabonds dorment sous les ponts. Les malades sont dépourvus et ne peuvent pas payer leurs médicaments. Les vieux sont aux restos du cœur et, sans moyen de chauffage, ils grelotteront à nouveau cet hiver dans les vents coulis de leurs misérables logements.

Mais, au moins, les migrants musulmans ne manqueront de rien.

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