lundi 23 octobre 2017

Charles de Gaulle : "C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se séparent de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombay-les-deux-Eglises, mais Colombay-les-deux Mosquées !".

Le général reste une personnalité de poids pour de nombreuses personnes. Son prestige et sa réputation en France font références.

Le monde animal est d'abord divisé en espèces, et chaque espèce en races ou variétés. Il en va ainsi des chiens, des chats, des bovidés et de tous les êtres animés. On relève qu'il n'y a plus qu'une seule espèce humaine sur la planète. Celle-ci, comme toutes les autres espèces, se divise en races, avant de se subdiviser infiniment en sous-races et variétés.

Cette mise au point prend le contre-pied des affirmations des politiciens cosmopolites et collabos. Ceux-ci abominent le mot "race" parce qu'ils y voient erronément un concept d'inégalité et de hiérarchie alors que, selon leur système mondialiste de mélange des cultures, le vivre ensemble impose le syncrétisme interethnique. On est toujours étonné de rencontrer autant de bêtises. Mais tous les moyens, même les plus stupides, sont utilisés pour déblatérer contre la culture française.

En considérant les milliers de films tournés depuis l'invention des frères Lumière, et en sélectionnant ceux relatifs aux actualités en France entre le début du XXe siècle et 1970, date du décès du général de Gaulle, on y verra s'agiter des millions et des millions de Français. Ils étaient tous blancs. La France était peuplée essentiellement de blancs. On ne peut, sans mauvaise foi, reprocher au général d'avoir dit la vérité.

C'est seulement après la mort du général qu'une politique de peuplement musulmane a été mise en place en application des théories juives cosmopolites et tiers-mondistes à la mode dont l'influence persiste dans les milieux fossilisés des socialo-psycho-sociologues français. Il fallait métisser la France pour la faire choir de son piédestal colonial et la placer sous la botte des peuples qu'elle avait dominés autrefois. Aujourd'hui, c'est chose faite. Mais, pour parfaire cette grande œuvre humaniste, les idéologues branchés ont voulu anéantir ce qu’ils considéraient comme une insulte à leur intelligence : le mot "race". Ces quatre lettres leur arrachent la langue. Ça les travaille comme la marque du diable, comme la morsure du fer rouge dont les damnés sont brûlés, rongés, roustis. Pour s’en débarrasser, les expédients les plus cruches sont rameutés. Ces pierrots en nient l’existence, les rayent du vocabulaire et veulent même les bannir des dictionnaires.

Les bobos -dont la prétention est de dicter au peuple ce qu'il doit penser- croyaient être parvenus à leurs fins. La réalité les a rattrapés en dépit ou à cause du tintamarre qu'ils organisent depuis leurs relais politiques jusque dans l'ensemble des médias pour stigmatiser le mot "race" et plus particulièrement "race blanche".

Par ailleurs, le plus célèbre des ethnologues hexagonaux, dont la pensée a influencé nombre de philosophes français des plus renommés, a écrit un livre intitulé : "Race et Histoire". Va-t-on le placer à l’index expurgatoire et mettre au pilon les exemplaires des bibliothèques ?

A l'occasion des conflits au Proche-Orient, on est un peu surpris des déclarations péremptoires des politiciens. Ceux-ci savent tout parfaitement et sont de savants stratèges. Il viennent expliquer à la télévision combien ces affrontements sont difficiles à surmonter dès lors que l'Irak est peuplée d'Arabes et que l'Iran voisin est le pays des Perses, deux races antagonistes.

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