lundi 11 septembre 2017

Vainqueurs de la guerre, les américains décidèrent d’en retirer les bénéfices et d’élargir leur marché au monde entier. Pour cela, il fallait écarter l’obstacle qui s’opposait à ce projet : les empires coloniaux. Des insurrections furent bientôt fomentées dans les colonies et il ne fut guère difficile de trouver des meneurs ambitieux pour prendre en main les populations avec autant de détermination que d’autorité. Soutenus par le courant mondialiste des pays occidentaux, les anciens colonisés et nouveaux émancipés purent bientôt jouir des bienfaits de la liberté tant désirée et obtenue après tant d’épreuves.

Mais, les populations nord-africaines, débarrassées de la tutelle française, au lieu d’éprouver la joie de voir tomber leurs chaînes et de faire leurs délices de leur émancipation, ne parurent nullement ressentir l’exaltation ni les sentiments qu’auraient dû soulever dans leurs âmes ce nectar au parfum d’ambroisie. En rangs serrés, délaissant leur pays de cocagne fraîchement dépuré où tout devenait félicité, richesse et plaisir, les maghrébins musulmans prirent le chemin des banlieues françaises, préférant visiblement la sécurité sociale et les petites femmes aux bénéfices de la liberté, de la souveraineté, de l’indépendance et des dattes. Ils sont maintenant environ une bonne douzaines de millions, renforcés de plus en plus par une immigration organisée par le pouvoir cosmopolite français et l’essaim bourdonnant d’une multitude de migrants musulmans profiteurs attirés eux aussi par la vision d’une sécurité sociale inépuisable, par la perspective d’allocations infinies, par le gîte et le couvert, et par les petites femmes à disposition.

Comme les feldgrau avant eux, les envahisseurs musulmans occupent la France avec le même sans-gêne, la même grossièreté, la même arrogance, les mêmes accents gutturaux. Ils sont partout comme les poux. Le temps est aboli. On est revenu à l’époque détestable des épreuves et des malheurs. Importée par les politiciens cosmopolites français collabos contre la volonté du peuple, la religion musulmane tient le haut du pavé et fait la loi dans les rues. Les franco-français commencent à raser les murs. Ils se dissimulent, restent dans l’ombre et contemplent les ruines de leur culture : les boucheries hallal, les piscines réservées aux musulmanes, les femmes voilées et cagoulées, les barbus et les mosquées, les manifestations sectaires, les écoles coraniques, les humiliations sans nombre... et beaucoup d’autres violences encore.

La conquête musulmane pourrait aujourd’hui effacer la déroute qu’elle avait subie à Poitiers en 732.

Les musulmans préparent leur revanche et, entre-temps, ils développent une haine inextinguible à l’égard de la culture française, de tout ce qu’elle représente, tout ce qu’ils n’ont pas. Plus ils obtiennent d’avantages de la France et plus ils la déteste ; plus elle s’incline et plus ils veulent l’abattre ; plus elle recule et plus ils la piétinent ; plus elle baisse la tête et plus ils se sentent forts ; plus elle a peur et plus ils sont insolents. Bientôt, ou peut-être demain, ce sera le jour des cimeterres et du califat.


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