lundi 4 septembre 2017

De repli en retrait, de revers en recul, d’abandon en dérobade, la culture française, comme saisie de transissement, s‘est confinée petit à petit dans son pré carré sans combattre ni même chercher à se défendre. Sur le planisphère, elle a rétrogradé et ne joue plus qu’un rôle secondaire depuis que les américains, en gendarmes juifs du monde, imposent leur ketchup et leur religion même à ceux qui n’en veulent pas.

Depuis toujours, les limites d’un pays sont ses frontières à l’intérieur desquelles sa culture propre jouit d’un monopole. Au sud de la France, l’Espagne est bornée par ses frontières et la culture espagnole s’y déploie sans obstacle. Plus au nord, l’Allemagne est déterminée de la même manière et la culture allemande y exerce un apanage indiscuté. S’il devait en être autrement, l’existence de frontières perdrait tout sens. Une personnes est chez elle dans le pays de sa culture comme tout un chacun est chez soi dans sa maison. Mais il en va autrement en France. A la différence de la plupart des autres pays, la culture française n’a plus en France le monopole qui était le sien il y a encore quelques décennies. Elle est récusée ou même victime de tentatives de réforme par deux communautés de plus en plus agressives dont les ambitions sont sans limites.

La France est envahie par deux communautés qui, par leur nombre et leurs cultures propres, mettent en danger de disparition la culture française en la contestant sur son propre territoire.

Tout pays a sa culture ; elle est dominante. Il n’y a jamais de multiculturalisme. Si plusieurs cultures sont présentes dans un même pays, alors elles entre en concurrence et, après des affrontements inévitables, une seule prend le pas sur les autres et les réduit à quia.

Toute personne d’une autre culture que la culture française est un étranger en France.

La culture juive a la maîtrise de l’infiltration dans les lieux où s’exerce un pouvoir. Depuis leur invasion en masse à partir du maghreb, les juifs occupent la France comme le firent naguère des spadassins vert-de-gris de funeste mémoire. Les juifs se trouvent représentés partout où des décisions sont prises, qu’il s’agisse de sociétés commerciales, d’organismes sociaux ou politiques. Les juifs ont fini par occuper les postes de commande de la société française d’où ils régentent tout et contrôlent tout. Ils font les lois avec leurs ministres et parlementaires ; ils dirigent les mass-médias, l’information, les spectacles, la radio, la télévision et le cinéma.

La camarilla juive intervient quotidiennement dans les médias depuis soixante-dix ans pour rappeler encore et encore que les juifs ont subi une persécution et qu’il convient de ne jamais l’oublier, qu’il faut se lamenter toujours, entendre les sempiternelles jérémiades des rabbins, de leurs suppôts, et surtout gémir avec eux. D’ailleurs, la loi juive mémorielle, votée par une assemblée nationale croupion, interdit en France toute étude historique sur cette période de la deuxième guerre mondiale afin de fixer la vérité juive comme vérité définitive en oubliant à propos le célèbre apophtegme de Martin Luther : un juif est toujours un menteur. Pour maintenir la flamme du regret et de la culpabilité, la fameuse rafle du vel d’hiv est rappelée chaque année par des collabos français les yeux humides et la gorge nouée. L’antienne est reprise à l’unisson par les grandes orgues des médias. C’est l’occasion d’accuser la France d’un crime qu’elle n’a pas commis mais qu’il est opportun de lui imputer pour complaire à la communauté juive et pour fouler du pied l’honneur de la communauté française. L’impudicité de ces collabos ne connaît aucune borne. La rafle a été fomentée, planifiée, organisée, ordonnée et orchestrée par des sbires d’outre-Rhin. Nul ne l’ignore.

Pour mieux assurer leur pouvoir sur des foules encore patriotes et donc rebelles à une mainmise étrangère sur leur destin, les juifs cosmopolites ont créé une Europe dans laquelle se syncrétiseraient les cultures des nations et où émergerait une pseudo-culture européenne, molle et velléitaire, facile à circonvenir, à diriger et à dominer. Depuis des années maintenant, les collabos gouvernementaux français, à chacune de leurs apparitions, se réfèrent à l’Europe cosmopolite en arborant un drapeau européen derrière le drapeau tricolore. On a l’impression justifiée qu’ils ont honte d’être de culture française, que l’Europe est désormais leur patrie et que la France doit s’effacer derrière ce ramassis hétérogène paneuropéen sans tête ni âme dont elle ne serait plus qu’un feudataire. Mais il n’y a pas de culture européenne. Il n’y a aucune dislocation des nations ni aucune dissolution des cultures dans ce condominium disparate. L’Europe ne peut être cosmopolite ; elle ne peut être qu’une juxtaposition des cultures. Toute conspiration pour les dissoudre entraînerait la révolte des nations et la disparition de celui qui conjurerait leur ruine.

L’abaissement de la culture française se trame partout, jusque dans les petites choses, là où on ne l’attendait pas. Lors de la fête nationale, le peuple se réjouit et, pour satisfaire à une tradition sympathique et inoffensive, il va voir défiler l’armée française. Cette fête est trop cocardière aux yeux de certains. Cet entre-soi de la culture française gêne les cosmopolites. Depuis quelques années maintenant, on en réduit le sens en la polluant par l’introduction de groupes militaires étrangers. Le défilé franco-français ne l’est plus. C’est désormais une manifestation supranationale que la culture française doit partager avec d’autres.



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