lundi 25 septembre 2017

Après le drame vécu par un hebdomadaire satirique, on entendait partout : "C'est un attentat contre la liberté d'expression" et on continuait en rappelant que la France est la patrie des Droits de l'Homme et que tout sera fait pour protéger cette liberté essentielle.

Selon les augures officiels, alliant imposture et impudence, la "liberté d'expression" en France et le respect des Droits de l'Homme ne sont pas de la roupie de sansonnet : c’est même le socle sur lequel la démocratie est bâtie ; aucun gouvernement ne transigera jamais avec cette valeur républicaine. On en reste comme baba. Cependant, un fait est un fait. La "liberté d’expression" n’existe plus en France.

Il n'est qu'à considérer les Droits en Grande-Bretagne ou aux États-Unis pour être convaincu, par comparaison, que la France figure parmi les derniers pays où les Droits sont respectés. Dès lors qu’une opinion déplaît au pouvoir cosmopolite et collabo, elle est interdite d’expression.

Où sont les Droits et la liberté d'expression lorsqu’un bateleur est empêché de donner son spectacle par un juge au service de la communauté juive ?

Où sont les Droits et la liberté d'expression lorsqu'un ministre collabo demande qu’un journaliste soit interdit d'antenne et que les rédactions des journaux lui soient fermées ?

L’assassinat perpétré dans les locaux d’un hebdomadaire satirique est le résultat de la frilosité française et du refus des autorités de voir la réalité en face. En massacrant des humoristes inoffensifs, les djihadistes sont persuadés d'avoir accomplit œuvre de justice et obéit aux règles dogmatiques de leur religion. Pour les musulmans, le blasphème est puni de mort. C'est dans le Coran. Il est criminel de continuer à faire croire, pour des raisons collaborationnistes, qu'il y a deux Islams, un bon et un mauvais. C'est non seulement une forfaiture mais aussi une imbécillité. Il n'y a qu'un seul Islam, celui du Coran.

On constate tous les jours la complaisance des politiciens envers les desideratas des millions de musulmans installés en France dont les exigences dépassent toutes les bornes. Dorénavant, tirant les enseignements de l’attitude du monde politique à l’égard des musulmans, les journalistes, rédacteurs et autres commentateurs de radios ou de télévision, évitent encore plus soigneusement toute allusion même légère au côté sombre de la religion musulmane.

C'est la rançon de la peur.

La France a peur de tous et de tout. Pour asseoir le pouvoir des politiciens et le pérenniser, pour supprimer toute opposition à leur vésanie criminelle, la France a, petit à petit, supprimé les libertés les unes après les autres.

Sur tous les sujets plus ou moins sensibles, les commentaires en France sont pesés sur une balance en fil de soie d'araignée.

C'est l'impasse où conduit la faiblesse à l'égard des musulmans devant lesquels le pouvoir en France s’est toujours agenouillé. Et la veulerie devient servilité quand on a peur.

L'Inquisition est de retour en France. Issues des troupes d’occupation juives et musulmanes, des gestapos ont ouvert des officines et traquent les résistants opposés à la mainmise juive sur la France et à la colonisation musulmane. Ces gestapos sont toutes-puissantes. Elles étendent leurs ramifications autour et alentour, jusque dans les recoins les plus secrets, là où on ne les attend pas mais où on les retrouvent néanmoins. Elles sont partout et toujours. Elles sondent les reins et les cœurs, examinent tous les écrits, passent l'Internet au crible pour y découvrir des propos politiquement incorrects. On n'ose plus donner son opinion relativement à l'une ou l'autre communauté ; on ne peut plus commenter ou critiquer ou blâmer ou contester ou désapprouver ; on hésite à parler ; on recule devant la vérité ; on sait qu’on est espionné ; on craint d'être entendu ; on parle à voix basse ; on peut sans savoir pourquoi être montré du doigt et accusé d’on ne sait quoi ; on peut à tout moment être cloué au pilori ; le soupçon tient lieu de preuve ; on se retrouve illico dare-dare embarqué à la Kommandantur puis traîné devant un tribunal VGH et condamné par l’un des juges Freisler de service.

C'est cela la "liberté d'expression" en France.


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