lundi 21 août 2017

La France est gouvernée par des étrangers, par des personnes qui ne sont pas de culture française.

Personne n’oblige un juif à être juif. La judaïté consiste à appartenir à la communauté juive. On y reste ou on en sort. Mais être juif supposerait aussi avoir des parents juifs qui eux-mêmes descendraient d’ancêtres juifs très anciens. On ne se débarrasserait pas de sa judaïté facilement car, selon ses sectateurs mais pour eux seulement, cela reviendrait à appartenir à un groupe ethnique particulier. Ce sont-là des dires de bonnes femmes. Les juifs comme n‘importe qui, descendent d’ancêtres de toutes les couleurs avec des nuances plus marquées chez les uns et plus légères chez les autres. Après l’abandon de la patrilinéarité pour la matrilinéarité au IIe siècle, plus aucun juif ne descend d’un ancêtre antique. Et comme les prosélytes ont été très nombreux au cours des âges, tous les juifs aujourd’hui, en raison de leur répartement universel car ils ont une complexion cosmopolite, ont mélangé dans leur sang celui de tous ceux qu’ils ont rencontré dans leur errance. Cela règle la question de la race qui leur tient tellement à cœur. Les juifs n’ont rien de particulier sinon la croyance psychédélique mais néanmoins pernicieuse qu’ils forment une ethnie à eux seuls. De fait, les juifs sont et se veulent partout des étrangers.

Un étranger n’est jamais de culture française.

La détestation des juifs est aussi vieille que les juifs. Leur originalité n’est pas pour créer la sympathie. Dans l’antiquité, ils étaient accusés de beaucoup de tares et même plus ; ils étaient fainéants et ne faisaient rien un jour sur sept ; ils n’étaient pas conviviaux et refusaient de manger du porc pour rester entre-eux ; ils étaient monothéistes et ne représentaient pas leur dieu, conception étrange et scandaleuse destinée à refuser d’honorer les dieux des populations qui les accueillaient ; ils sacrifiaient des êtres humains à leur dieu, accusation des plus durables qui a traversé les siècles et les millénaires. On peut résumer l’opinion des anciens par ces quelques mots : les juifs sont des hommes qui ont imaginé une vie insociable, qui ne partagent avec leurs semblables ni la table, ni les libations, ni les prières, ni les sacrifices ; ils cultivent une hostilité haineuse envers tout ce qui n’est pas juif. Le moyen âge reprendra les griefs formulés par les auteurs antiques en y ajoutant ceux de déicide, d’immoralité, de débauche et de cupidité. On est plus habitué à la détestation des juifs au XIXe siècle qui s’est maintenue jusqu’au milieu du XXe siècle. Il est tout à fait remarquable qu’aucun écrivain, philosophe, théologien, penseur, politicien, historien, exégète, mémorialiste, qu’aucun d’entre eux n’ait écrit ne serait-ce qu’un seul commentaire favorable aux juifs depuis l’antiquité jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. Mais, par contre, ils ont prononcé de sévères catilinaires sur les juifs et sur leur comportement.

Depuis lors, le vent a tourné. Il n’y a plus que des thuriféraires. Les juifs sont hissés sur un pavois. Ils sont les rois de la création. En eux se conjuguent toutes les vertus. Il est vrai qu’ils s’y entendent à chanter leurs propres louanges, à réduire au silence et museler celui qui se hasarderait encore à les dénigrer ou à les déblatérer.

Il y a six cent mille juifs en France.

Les juifs veulent toujours gouverner les lieux où ils se trouvent. Cette propension est à l’origine de la détestation moderne qui continue de les poursuivre. On les retrouve incrustés dans les directions de tous les organismes dont les décisions exercent une influence sur la société. Ils sont dans les partis politiques, au gouvernement, dans les parlements, dans les régions et départements, mais aussi dans les sociétés commerciales, privées ou publiques. Ils sont dans des associations importantes comme les francs-maçons ou les syndicats de travailleurs et d’employeurs. Partout où s’exerce un pouvoir, ils sont présents, et d’autant plus nombreux que le pouvoir est hégémonique.

Il y a beau jour qu’ils ont conquis les postes les plus importants aux États-Unis. Ils sont plus de cinq millions à y proliférer. Qu’ils soient originaires d’Europe centrale ou prosélytes, ce sont eux qui, infiltrés dans tous les lieux de pouvoir, déterminent les orientations politiques, économiques et financières du pays. Après la deuxième guerre mondiale, pour procurer un refuge aux juifs du monde entier, des juifs ashkénazes américains ont créé l’État d’Israël dans les conditions que l’on sait. Depuis lors, les américains protègent Israël comme ils le feraient d’un de leurs États. Dans les faits, Israël est le 51e État des États-Unis. Toutes les décisions importantes relatives aux États-Unis sont prises à Tel-Aviv. Les États-Unis et Israël ne forment qu’un pays. S’en prendre à l’un, c’est s’en prendre à l’autre. D’ailleurs, pour ôter du doute celui dont les convictions obscurciraient le jugement, plus de quatre-vingts pour cent des américains sont circoncis. C’est dire la sujétion des États-Unis au judaïsme.

La politique des États-Unis semble parfois incohérente. Ses intérêts paraissent souvent sacrifiés à des considérations obscures. Ses véritables mobiles s’éclairent enfin lorsque l’on sait que les États-Unis sont un pays juif. Les opérations qu’il entreprend et la politique qu’il conduit ne sont pas décidées à Washington mais à 10.000 kilomètres de là.

Bien que dominant le monde de toutes les façons, les États-Unis sont néanmoins l’objet d’une véritable aversion de la part d’un grand nombre de nations ; ils sont en butte à la même détestation que le monde éprouve depuis toujours à l’égard des juifs.

Bien qu’ils soient moins de quinze millions de par le monde, il est réellement inquiétant qu’une si petite minorité ait réussi à concentrer une telle somme de pouvoirs entre ses mains, à tel point que les juifs sont à la source des principales décisions prises n’importe où.

L’influence des juifs sur l’ensemble de la planète, car ils sont partout, est patente. Cette situation leur a donné un sentiment de supériorité assez désagréable qui n’est pas pour rien dans l’hostilité qu’ils rencontrent. Mais ils n’en ont cure. Ils poursuivraient un projet ésotérique consistant, en dépit des épreuves qu’ils ont traversées, après de nombreuses chutes et autant de relèvements dus à la difficulté de la tâche, à travailler encore et toujours, avec une persévérance opiniâtre, à la rédemption du monde sous leur direction.


Aucun commentaire: