L'humanité s'est souvent distinguée par son intelligence, parfois par son talent, quelquefois par son génie. Elle a appris à forcer le sort, à se servir des circonstances, à dépasser sa condition ; elle a produit des œuvres très remarquables et magnifiques comme la Grande Pyramide de Gizeh, la Divine Comédie de Dante, le nombre Pi, l'Iliade, l'électricité, le transistor, l’œuvre poétique de Victor Hugo, le
Colisée, les portraits de Rembrandt, les mémoires d'outre-tombe de Chateaubriand, la radio et la télévision, la bataille d'Austerlitz, le code génétique, la conquête spatiale, la tour Eiffel, la libération de la femme par la machine à laver, le théorème de Pythagore, la physique quantique, le fric-frac du dieu Shoah dans les banques suisses.
Les organisations juives avaient entrepris le siège des banques suisses dans le but d'obtenir le versement dans leur tiroir-caisse des avoirs détenus par des juifs disparus dans les camps. Ceci pose la question du terme 'juif'. Le juif est-il un pratiquant de la religion judaïque et les organisations juives sont-elles des représentants de cette religion ? Dans ce cas, on doit tout de même constater que de nombreux juifs déportés et disparus n'étaient ni pratiquants ni croyants et ne méritaient donc pas d'être qualifiés de juifs. L'attribution de leurs biens par les banques suisses à des organismes religieux dont ils ne partageaient pas la philosophie apparaît dès lors comme illégitime et injuste.
Comment savoir si un avoir délaissé appartenait à un juif ? De tout temps, de nombreuses personnes ont placé leur argent en Suisse pour le soustraire à des regards officiels ou à ceux de parents trop curieux. De nombreux comptes, finalement, sont en déshérence et sont abandonnés sans que personne y ait aucun droit. C'est une situation on ne peut plus banale et courante. Mais comment savoir si le propriétaire, quel qu'il soit, aurait eu la volonté de laisser cet argent à des organisations juives ? C'est infiniment peu probable. D'ailleurs, les victimes des camps n'étaient pas toutes juives mais appartenaient à toutes les confessions, à de nombreuses croyances, ou variaient dans leurs convictions. Les personnes qualifiées de juives par les autorités nationales-socialistes l'étaient-elles vraiment et les organisations juives peuvent-elles parler en leurs noms ? Enfin, il n'est pas rare que des personnes placent leur argent dans une banque étrangère pour en jouir elle-même pendant leur existence et souhaitent, après leur mort, que cet argent reste délaissé et n'appartiennent à personne.
Ces nombreuses questions, aussi morales que juridiques, ont trouvé une réponse radicale. Le gouvernement américain, stipendié par le dieu Shoah, a décrété que les banques suisses perdraient leur accréditation aux Etats-Unis à moins qu'elles ne se plient aux exigences des organisations juives. Dès lors, le couteau sur la gorge et le pistolet sur la tempe, les banques suisses ont déversé les milliards sans propriétaires avérés ni reconnus dans les coffres des organisations juives.
On mesure ici la puissance des organisations juives aux Etats-Unis et l'influence qu'elles ont sur la politique de ce pays.
Si on faisait le compte de tous les milliards obtenus ici et là par le dieu Shoah et s'ils avaient été équitablement distribués aux membres de la communauté juive, -quod non-, tous les juifs du monde seraient millionnaires.
Béni sois-tu Eternel ! Toi qui fais pleuvoir la manne dorée sur tes fidèles ! Béni sois-tu dieu Shoah !
* * *
Depuis soixante-dix ans, le dieu Shoah est omniprésent dans les médias et en politique. Il exige qu'un culte lui soit rendu par tous alors que seuls les juifs sont concernés, et même seulement certains juifs car ils ne sont pas tous solidaires ni morbides.
Cette situation n'est pas conforme aux traditions ni à la culture française : le dieu Shoah est ubique et imposé à tous. La dévotion à sa personne est obligatoire ; c'est avant tout une agression contre la liberté mais aussi une incitation à la passivité, à la soumission, à la docilité dès lors qu’il faut croire et qu’il est interdit de savoir. Ce serait comme une lumière dans les ténèbres qui éblouit et empêche de voir. Cela, c’est croire sans savoir. Or le savoir, c’est la connaissance.
Pour savoir, il faut consentir un effort d’observation, de réflexion ; il faut étudier des documents, des témoignages ; il faut comparer les opinions ; il faut contredire les certitudes pour les confirmer ou les infirmer ; il faut se pencher sur une multitude de faits pour les confronter, pour en exprimer la signification profonde de manière à en dévoiler le caractère véridique.
Mais il est interdit de savoir quoi que ce soit du dieu Shoah dont la mémoire est rappelée de jour en jour, de mois en mois et d’année en année avec une constance et une opiniâtreté telles qu’on en a le tournis. Et on ne peut que subir le discours toujours plus intrusif de cet éloge de l’ignorance. On ne peut ni s’interroger ni questionner ni s’enquérir sans être aussitôt poursuivi par la vindicte médiatique, sans risquer d'être menotté et oublié sous les verrous d'une geôle.
Faudra-t-il toujours revivre ce passé, et celui-là seulement à l’exclusion de tous les autres ? Et sans pouvoir rien discerner dans le brouillard du temps de plus en plus épais ?
On doit susciter en soi et chez les autres une remembrance constante de ce passé douloureux ; on doit en cultiver le souvenir, en présenter le mémorial partout, le rappeler encore et toujours. La main sur la nuque, on baisse la tête pour pleurer. Partout et toujours, ce sont les mêmes récits larmoyants, les mêmes plaintes, les mêmes lamentations, les mêmes jérémiades interminables, monotones, rebattues, ressassées, rabâchées jusqu’à la nausée sans que personne puisse poser une question. Et malheur à celui qui douterait, à celui-là même qui serait indifférent. Non, il faut croire, compatir et se taire.
Cache-t-on quelque chose ?
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