Le culte du dieu Yahvé est compliqué et accaparant. Au fil des siècles et des cheminements buissonnants des ratiocinations rabbiniques, de multiples obligations se sont ajoutées les unes aux autres, tant et si bien que 613 commandements rythment la vie des juifs pratiquants et ne leur laissent que bien peu de temps libre. Il y a de quoi harasser le mieux disposé. Le titre de Juste se paie décidément trop cher, d'autant plus que les incartades sont durement sanctionnées car Yahvé punit fort et souvent, et il récompense chichement et rarement.
A présent, les juifs modernes se sont détournés de Yahvé, du poids de son culte et des minces avantages qu'ils pouvaient en retirer. Ce n'est pas la première fois qu'ils adoptent et adorent un autre dieu. Au cours de l'histoire, plusieurs Veaux d'Or ont été érigés et placés sur des autels. Les juifs se prosternaient devant eux et imploraient leur protection par des invocations et des sacrifices. Le Veau d'Or était un symbole du dieu Baal. Les juifs ont toujours eu une espèce de tendresse pour lui, pour sa force et sa férocité même si, finalement et jusqu'ici, ils sont toujours revenus vers leur dieu Yahvé non sans subir, à chaque fois, les foudres de sa colère.
Aujourd'hui, les croyances antiques n'ont plus cours. Elles ne servent plus que pour le pittoresque ou le folklore et pour la galerie, pour faire croire au public non juif que le dieu Yahvé est toujours vénéré et redouté. Mais les juifs ne croient plus en Yahvé ni en ses sanctions ni en ses bienfaits. Ils se sont tournés vers le dieu Shoah. Ce dernier règne actuellement sur la communauté juive et semble même être révéré dans les pays occidentaux.
Le dieu Shoah ne semble pas insensible aux hommages qu'il reçoit. En tout cas, il protège efficacement la communauté juive et suscite chez les non-juifs des sentiments de culpabilité qui perdurent en dépit du temps et des années. Le dieu Shoah instigue la plupart des pays d'Occident à contribuer sans compter à la prospérité de la communauté juive sans être capables de se ressaisir, d'ouvrir les yeux sur la réalité et d'arrêter leur démarche de somnambule. Ils semblent comme prisonnier d'un charme qui les pousse à payer, à payer, à payer sans trop savoir pour qui ni pourquoi.
Sous l'impulsion des puissantes organisations juives américaines, les pays européens qui, dans le passé, ont été occupés par l'Allemagne nationale-socialiste, sont aujourd'hui présumés responsables du sort des juifs présents sur leur territoire à cette époque. Evidemment, seul le régime national-socialiste, disparu depuis plus de soixante-dix ans, peut être regardé comme le comptable de tout ce qu'il a ordonné et organisé. Les pays occupés ne pouvaient qu'assister impuissants aux actes de la puissance qui les dominait par son armée, sa police, ses menaces et ses représailles.
La magie est que, même si cela peut sembler incroyable, à tel point qu'aucun romancier n'a jamais osé imaginer un scénario aussi rocambolesque, le dieu Shoah a déplacé la responsabilité des actes commis par le régime national-socialiste disparu sur les pays occupés. Ceux-ci deviennent les auteurs par substitution et n'ont pas d'autre possibilité que de supporter le poids de la faute commise par un autre. Il s'agirait d'un nouveau péché originel dont les conséquences se reporteraient de génération en génération jusqu'au jugement dernier et même dans l'au-delà. Le plus étrange est que les pays concernés ne semblent pas conscients du tour de passe-passe dont ils sont les dupes et, pour apaiser la colère du dieu Shoah qui les obnubile par ses manœuvres théurgiques, ils cotisent depuis soixante-dix ans et financent à l'infini la communauté juive en expiation de fautes qu'ils n'ont pas commises. On est en plein surréalisme.
Depuis la nuit des temps, de toutes les populations de la terre qui ont été décimées en grand nombre, et elles sont des milliers et des milliers, seule la communauté juive a obtenu une réparation pécuniaire. Et quelle réparation !
Les réclamants sont les organisations juives. Que sont-elles ? Nul ne le sait. Qui sont-elles ? Nul ne le sait. Elles rassembleraient les juifs. Quels juifs ? Nul ne le sait. Qu'est-ce qu'un juif. Nul ne le sait. Il y a des juifs de toutes les couleurs, de toutes origines et de toutes observances. Tous les jours, des juifs cessent d'être juifs et sortent des rangs tandis que des convertis colmatent les vides. Néanmoins, les organisations juives, auto-proclamées, parlent au nom des juifs. Et elles tiennent le haut du pavé. Et elles parlent fort et souvent. Et elles ont l'oreille des Etats. C'est cela la divinisation de la Shoah.
Tous les pays anciennement occupés par l'armée allemande ont craché au bassinet. L'Allemagne seule aurait payé 65 milliards d'euros et elle aurait livré 6 sous-marins lanceurs d'engins à l'Etat d'Israël. En plus de ses résipiscences culturelles, officielles et officieuses, nombreuses et incessantes dans les médias, à l'occasion de commémorations sans fin et lors du bourrage de crâne dans les écoles, la France est l'une des premières à redouter le dieu Shoah, à battre sa coulpe et à mettre la main au gousset. Cela n'est pas suffisant puisque les organisations juives, appuyées par le gouvernement américain, ont imposé à la SNCF une pénitence sonnante et trébuchante, au montant confidentiel, pour avoir, sur réquisition de l'Allemagne occupante, convoyé des juifs déportés. Les organisations juives font flèche de tout bois.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire