lundi 12 octobre 2015

Une sale race !

"C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne". (Charles de Gaulle).

La pauvre Nadine Morano aurait dû se contenter de lire cette forte parole au lieu de s'empêtrer dans des explications confuses et des propos agressifs.

Le général reste une personnalité de poids pour de nombreuses personnes. Son prestige et sa réputation en France font références.

Le monde animal est d'abord divisé en espèces, et chaque espèce en races ou variétés. Il en va ainsi des chiens, des chats, des bovidés et de tous les êtres animés. On relève qu'il n'y a plus qu'une seule espèce humaine sur la planète. Celle-ci, comme toutes les autres espèces, se divise en races, avant de se subdiviser infiniment en sous-races et variétés.

Cette mise au point prend le contre-pied des affirmations des politiciens. Ceux-ci abominent le mot "race" parce qu'ils y voient erronément un concept d'inégalité et de hiérarchie alors que, selon leur propre aveu, le civisme et la morale imposent le vivre ensemble dans la fusion interethnique. On est toujours étonné de rencontrer autant de bêtise.

Si on veut bien considérer les milliers de films tournés depuis l'invention des frères Lumière, et si on sélectionne ceux relatifs aux actualités en France entre le début du XXe siècle et 1970, date du décès du général de Gaulle, on y verra s'agiter des millions et des millions de Français. Ils étaient tous blancs. La France était peuplée essentiellement de blancs. On ne peut, sans mauvaise foi, reprocher au général d'avoir dit la vérité.

C'est seulement après la mort du général qu'une politique de peuplement musulmane a été mise en place en application des théories tiers-mondistes à la mode dont l'influence persiste dans les milieux fossilisés des socialo-psycho-sociologues français. Il fallait métisser la France pour la faire choir de son piédestal colonial et la placer au niveau des peuples qu'elle avait dominés autrefois. Aujourd'hui, c'est chose faite. Mais, pour parfaire cette grande œuvre humaniste, il fallait aussi mettre fin aux valeurs du passé symbolisées par le mot "race". Il faut donc nier son existence, le rayer du vocabulaire et même des dictionnaires.

Les bobos -dont la prétention est de dicter au peuple ce qu'il doit penser- croyaient être parvenus à leurs fins. La réalité les a rattrapés en dépit ou à cause du tintamarre qu'ils viennent d'organiser depuis leurs relais politiques jusque dans l'ensemble des médias pour stigmatiser le mot "race" et plus particulièrement "race blanche".

Par ailleurs, le plus célèbre des ethnologues hexagonaux, Claude Lévi-Strauss dont la pensée a influencé nombre de philosophes français des plus renommés, a écrit un livre intitulé : "Race et Histoire".

A l'occasion des conflits au Proche-Orient, on est un peu surpris des déclarations péremptoires des politiciens. Ceux-ci savent tout parfaitement et sont de savants stratèges. Il viennent expliquer à la télévision combien ces affrontements sont difficiles à surmonter dès lors que l'Irak est peuplée d'Arabes et que l'Iran voisin est le pays des Perses. Décidément, ces politiciens racistes accommodent leurs propos aux circonstances.


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