lundi 8 juillet 2013

Un prince est appelé à régner…

Le roi son père se trouve engoncé dans une affaire peu reluisante de reconnaissance de paternité car il aurait passé ses loisirs en charmante compagnie et, surtout, sans prendre la précaution de coiffer le petit Jésus.

L'embrouillamini juridique est assuré et les professionnels se bousculent au portillon pour donner leur avis.

C'est l'occasion d'ajouter un commentaire plus général.

Force doit rester à la loi, dit-on. Mais, celle-ci existe-t-elle dans un pays aussi corrompu, où la confusion des valeurs est la règle ? La loi est malléable et prend toutes sortes de visages au gré des interprétations des magistrats voire de leur humeur du moment où de leur désir de jouer les vedettes en donnant aux mots une signification originale ce qui confère au droit une incertitude toute semblable à celle du loto mais où le juge est toujours celui qui décroche la timbale.

Les palais de justice sont des casinos où le plaignants jouent à la roulette russe.

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