mardi 5 décembre 2017

Il faut toujours, toujours, avoir à l’esprit que les juifs ne s’intègrent jamais, jamais.

Les juifs formeraient un peuple original ; ils ne s’assimilent jamais nulle part. Ce sont des étrangers partout et toujours. Les juifs errent de pays en pays. Ils sont partout chez eux car ils se retrouvent entre eux partout, sans se mélanger, en restant dans leur eccéité. Les juifs sont entre eux comme le sang est au moustique, comme le champignon est à la bombe, comme le péché est au damné, comme l’argent est au corrompu. C’est le résultat de leur culture propre. Celle-ci les entraîne à croire que le mépris dont ils sont entourés, que l’aversion planétaire dont ils sont accablés, ne serait qu’un effet de la jalousie qu’inspire leur supériorité.

Si la fraternité et la réconciliation sont des notions inconnues des juifs, leur trait le plus spécifique, celui qui les singularise par dessus tout, alors que Martin Luther croyait avoir sondé leur fond en découvrant leur propension irréfrénable au mensonge, leur anormalité la plus détestable, celle à laquelle ils sont redevables de leur exécration universelle, est leur pulsion malsaine à humilier ceux qui ne sont pas de leur race.

Depuis soixante-dix ans, les juifs adorent leur Veau d’Or : la Shoah, dont ils touchent les royalties et exploitent les retombées jusqu’à la dernière goutte. Le XXe siècle s’est singularisé par ses massacres. On estime que ceux-ci ont coûté la vie à plus d’une centaine de millions de malheureux. Les juifs ne retiennent que la persécution dont ils ont été la cible pendant la deuxième guerre mondiale. C’est cohérent dès lors qu’ils en ont été les principales victimes mais non les seules comme chacun sait. C’est cependant incorrect à l’égard des innombrables autres victimes que de tenter d’effacer toutes les turpitudes et autres abjections du XXe siècle pour ne retenir que ce seul épisode et vouloir, circonstance aggravante rejoignant l’imposture, l’imposer à la France et au monde comme l’événement le plus important de l’Histoire. L’odyssée humaine et ses hauts faits sont repoussés dans l’ombre de leur Shoah.

Après s’être infiltrés partout en France, surtout dans la seconde moitié du XXe siècle, les juifs ont petit à petit conquis les différentes bastides financières, économiques, sociales, politiques, avant de s’emparer des clés du pouvoir et d’amariner le noir esquif de l’État. Du coup, de quinquennat en quinquennat, les présidents successifs ont dû se prêter à d’amères bouffonneries, à des arlequinades indignes. Au nom de la France, ils ont reconnu des crimes qu’elle n’avait pas commis. Ils ont piétiné leur honneur et celui de la France dans de honteuses et humiliantes "repentances" exigées par le pouvoir juif exultant.

Mais ce n’est pas suffisant, ce ne sera jamais suffisant.

Le projet des juifs est encore plus noir que leur caviar.

Il faut célébrer la Shoah en France. Il faut que la France prenne conscience de son indignité, qu’elle soit humiliée encore et encore. Il faut que, jusqu’au plus petit village, à côté des célébrations au monument aux morts pour la patrie, un mémorial de la Shoah soit prononcé afin que nul n’en ignore et n’oublie jamais, jamais.

Ainsi, lentement, goutte à goutte, jour après jour, depuis la petite école, à travers l’ensemble des médias, par le livre, le cinéma, l’Internet et les autres moyens de diffusion dans le public, la Shoah creusera son ornière en profondeur, tant et si bien qu’elle fera partie de la conscience des français. On trouvera bientôt naturel de se lamenter avec les juifs, de gémir avec eux, de se couvrir la tête de cendres au souvenir de crimes que nos aïeux n’ont pas commis mais dont la France doit supporter la malédiction.

Les juifs veulent inséminer la culture française et inclure dans son génome ce caractère juif essentiel qu’est la Shoah. Ce métissage est un crime. La culture française ne serait plus la culture française.

La France profonde doit mettre fin aux menées de ces envahisseurs étrangers ; elle doit s’armer pour résister aux gestapos juives et les anéantir, pour abroger leurs lois mémorielles scélérates et pour combattre la politique cosmopolite fatale de dissolution de la France dans l’Europe d’abord, dans l’œcuménicité juive ensuite.

Seules les personnes de culture française sont chez elles en France ; elles sont, par nature, de nationalité française. Toutes les autres personnes sont des étrangers. Mais les cosmopolites et les collabos au gouvernement ont galvaudé la nationalité française et, sciemment, pour se conformer à leur politique délétère d’hybridation, ils l’ont jetée au vent comme des confettis un jour de carnaval. C’est ainsi que de nombreux allochtones, juifs et musulmans mais aussi beaucoup d’autres personnes d’origines diverses, ont reçu la nationalité française sans l’avoir demandée et alors même qu’ils l’auraient refusée s’ils l’avaient pu.

Mais la destruction programmée de la culture française pour permettre sa manipulation et sa sujétion à un pouvoir cosmopolite ne se fait pas sans regimbement. Tout n’est peut-être pas perdu.

Le cosmopolitisme européen, branche de l’internationale juive, en s’acharnant à marginaliser les cultures nationales, a créé de virulentes oppositions régionales. Il n’y a pas de culture européenne en dépit des efforts des mondialistes. C’est pourquoi les régions se dressent partout contre les tentatives de désagrégation auxquelles elles sont sans cesse confrontées et qu’elles ressentent justement comme des agressions.

Les attaques contre la culture française par les juifs, les musulmans et les collabos, sont des crimes contre l’humanité. Elles s’apparentent à des tentatives de génocide et d’extermination de populations à travers leurs cultures. Elles seraient passibles des peines les plus lourdes selon la jurisprudence de Nuremberg.

Les juifs sont les maîtres en France. Ils ont tant et si bien fait qu’ils en sont arrivés à maintenir le peuple français sous leur coupe voire sous leurs coups.

Voltaire : "Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer".

Les juifs sont tellement sûrs d’eux-mêmes, de leur supériorité, qu’il leur semble naturel, qu’il va de soi, que le pouvoir leur revienne. La nature même de leur race les rend aptes et idoines à exercer le pouvoir. Les peuples qu’ils dominent ne sont-ils pas plus heureux sous leurs lois que sous le joug de leurs semblables ?

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