lundi 1 avril 2013

L'armée recrute tous azimuts. Elle sollicite les candidats et a beaucoup de peine à les décider de sauter le pas. Ces temps derniers, elle n'a pas été très regardante sur la qualité. Des salafistes et des extrémistes de tous poils ont ainsi été incorporés. A présent que seize jusqu'au-boutistes islamistes et trente-neuf militants fachos ont été identifiés, l'armée voudrait s'en débarrasser. Mais elle ne le peut pas. La Constitution garantissant la liberté d'opinion ne permet pas de sanctionner les militaires dont les convictions seraient contraires aux causes qu'ils sont sensés servir. Les contingents envoyés combattre dans des régions aux mains de fanatiques pourraient être mis en danger par la présence d'éléments incontrôlés et favorables à l'ennemi qu'il faut neutraliser. L'armée est désarmée. Les islamistes s'entraînent aux maniements des armes les plus simples comme des engins les plus sophistiqués. Ils sont prêts pour des actions décisives de prises d'otages et de chantages en tous genres. Mais déjà, certains d'entre eux s'en sont allés dans des pays éloignés prêter main forte à leurs semblables. Ils les forment aux techniques de l'embuscade et du combat commando qu'ils connaissent en professionnels.

Il se confirme ainsi que les lois sont faites pour accorder des droits aux malfaisants et qu'elles ne protègent nullement les honnêtes citoyens.

.

Aucun commentaire: