La tempête médiatique déchaînée par la tuerie dans le sud de la France s’apaise enfin.
Tout d’abord, après la mort des militaires maghrébins et celle des enfants juifs, les médias et les associations bien-pensantes ont à l’unanimité désigné le coupable : leur proclamation affirmait qu’il s’agissait manifestement d’un groupe fasciste d’extrême droite nostalgique du nazisme, raciste et antisémite, puissamment organisé et entraîné. Et les commentaires s’accompagnaient de grands roulements de tambour et de trémolos dans la voix pour bien souligner l’indignation qu’il fallait éprouver.
Finalement, l’affaire se résume en un attentat politico-religieux avec le Proche-Orient en arrière-plan. L’auteur n’est qu’un minable manipulé par des fanatiques. Ce n’était qu’un paumé un peu falot endoctriné lors de ses voyages en Afghanistan et au Pakistan et qui a tué pour le compte des séides d’Al-Qaïda.
Toujours farauds mais surtout dépités, les inquisiteurs de la pensée politiquement correcte ont ravalé leur bile et regagné la coulisse.
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