Si l'immigration massive doit être permise, tolérée ou facilitée, alors la nation n'a plus de sens ni le territoire non plus. N'importe qui pourrait alors aller et venir n'importe où, apporter et imposer sa culture, sa religion, ses coutumes, ses produits, sa langue et ses mœurs, profiter, exploiter, se servir, bénéficier, abuser, spolier, selon ses lois et ses règles propres.
Le monde ne serait plus divisé en nations grandes et petites, rassemblées sur des territoires reconnus, mais les plus nombreux et les plus forts imposeraient leurs façons, qu'ils soient d'ici ou d'ailleurs, qu'ils soient civilisés ou sauvages, qu'ils soient venus de loin ou des alentours comme les teutons ou quelques autres.
On ne serait plus maître en sa maison, en son chez-soi. On ne pourrait plus vivre avec ses semblables.
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