
Le ministre Magnette a fait son show.
Son "Printemps de l'environnement" devait le propulser au firmament de l'écologie. Il n'a réussi qu'à mécontenter tout le monde. S'il a remué beaucoup d'air, il n'a proposé que des mesurettes en pagaille en évitant soigneusement les préoccupations les plus actuelles comme le CO2 ou la pollution de l'air, de l'eau, de la terre qui ne l'ont pas troublé car ces problèmes relèvent d'actions pluridisciplinaires de longue haleine qui ne peuvent être détournées au service de sa seule personne.
L'Institut fédéral suisse de
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