En 1976, le géant sidérurgique Cockerill se portait mal mais comptait toujours environ 55.000 travailleurs. Pour sauver ce fleuron wallon, les politiciens injectèrent 180 milliards de BEF dans l'entreprise.
Après avoir été revendu pour un plat de lentilles à Usinor et bien qu'il se soit étendu le long de la dorsale wallonne jusqu'à et y compris sur les sites de Charleroi, il n'est plus aujourd'hui qu'une simple succursale de magnat Mittal et n'emploie plus que 8.000 travailleurs.
Ce simple exemple donne une idée de la décadence wallonne orchestrée par une poignée de politiciens avides de prébendes et d'honneurs.
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