jeudi 15 novembre 2007

Ce 13 novembre, la Cour constitutionnelle a installé son président néerlandophone Marc Bossuyt. Celui-ci, à peine intronisé, a aussitôt déclaré urbi et orbi que si des élections générales étaient organisées sans appliquer préalablement la scission BHV, elles seraient illégales car inconstitutionnelles.

Cette déclaration intempestive et toute personnelle a aussitôt soulevé un tollé parmi les juristes et constitutionnalistes du pays qui ont une toute autre lecture des textes.

A nouveau, après les nombreux arrêts des Chambres flamandes des diverses instances relatifs à l'application des lois linguistiques dans les Fourons, la périphérie ou Bruxelles, il se vérifie encore et toujours que les juges néerlandophones sont flamingants avant d'être magistrats.

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